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La saison JAZZ à VED'A 14-15 est bloquée, reste les 1res parties à assurer...qui s'y colle?
2014
26 octobre -16 novembre- 14 décembre2015
18 janvier-15 février-19 avril -16 mai
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Un peu facile le jeu de mot, je consens.
Mais pas simpliste ce qui suit, c'est du lourd !
Free punk pop hypnotique, post-rock, jazz-core…Troublant, orgiaque et communicatif, Toc est inclassable, mais secoue les pieds et les têtes.
Après "le Gorille" (Circum-Disc), le groupe révèle avec ce deuxième album "You can dance (if you want)" son goût pour la pop improvisée et sur-vitaminée, sans compromettre son appétit d’expérimentation sonore…
Jouant sur le volume et l’énergie du rock, puisant ses influences de Stravinsky à Sonic Youth, sans oublier ce qu’il y a entre les 2 et autour (The Necks, Godspeed, …), le trio privilégie en son sein l’écoute, la disponibilité, les initiatives ou les coups d’état…
Toc cherche constamment à travailler une matière sonore dans laquelle disparaît l’identité des instruments, la laissant ressurgir en creux dans la texture Ils acceptent, voire provoquent, la surprise, les perturbations, la mise en danger…
On retrouve les musiciens de Toc dans les différents collectifs qui sévissent sur la scène lilloise (Muzzix, Zoone Libre, …), opérant sans barrière, de l’expérimentation (La Pieuvre, …) au jazz (Jérémie Ternoy Trio, …) en passant par le Zeuhl (Magma) ou le rock garage (Sheetah et les Weissmüller…).
Jérémie Ternoy : Fender Rhodes
Ivann Cruz : guitare
Peter Orins : batterieSource: muzzix.info
Prochaines dates de TOC
LUNDI 14 AVRIL À 19H00
TOC’S MONTAG
La malterie à Lille LUNDI 5 MAI À 19H00TOC’S MONTAG
La malterie à Lille LUNDI 12 MAI À 19H00TOC’S MONTAG
La malterie à Lille LUNDI 19 MAI À 19H00
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Vendredi 11 Avril, Ibrahim Maalouf sera au Theatre Municipal de Denain.
Après son passage à Armentières en février dernier (voir mon précédent article ), il revient dans la région, auréolé de sa récompense aux victoires de la musique.
Après le tendre « WIND », Ibrahim Maalouf revient avec un album plus électrique, composé spécialement pour la scène. C’est une première pour cet artiste qui depuis plusieurs années a su construire autour de lui une esthétique variée et toujours surprenante. Accompagné par son fidèle groupe composé de Frank Woeste au clavier, François Delporte à la guitare, Xavier Rogé à la batterie et Laurent David à la basse. Ce concert est complet.
Source: https://www.facebook.com/events/499352520157863/?ref_newsfeed_story_type=regular
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Je vous propose un nouveau quizz créé par cop68 sur quizz bizz. En photo !
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Saxophones SML (Strasser Marigaux Lemaire)
Le 12 janvier 1935 voit la naissance de la société Strasser Marigaux & Lemaire, plus communément appelée SML. Les trois amis ont la particularité d’avoir des compétences très complémentaires. Jules Marigaux est « l’homme de l’art ». Formé chez Buffet Crampon où il travaillait avec son père, il excelle dans la fabrication d’instruments. Charles Strasser était quant à lui doué pour les langues et le commerce. Enfin, Monsieur Lemaire s’occupait de la gestion.
SML débuta son activité à Paris avec la fabrication de saxophones et de flûtes en 1937. La même année, la société attira les projecteurs lors de l’Exposition Universelle de Paris. En 1938, SML signa son 1er modèle de saxophone sous la référence « Révision A ». 4500 exemplaires furent ainsi produits. S’ils connaissent le succès avec leurs saxophones, SML fut rapidement reconnue pour la grande qualité de ses hautbois, conçus par Marigaux. Désireuse de se positionner sur plusieurs catégories d’instruments, SML procéda au rachat de plusieurs marques dont Louis Lot (inventeur de la flûte moderne) en 1951.
Photo: La boîte noire Après la seconde guerre mondiale, l’arrivée du jazz en Europe et les nombreux échanges avec les artistes américains de passage à Paris accélérèrent la production de saxophones SML et la réputation de la marque aux Etats-Unis. De grands noms comme Coleman Hawkins ou Carmen Leggio furent les ambassadeurs de la marque au « gros pavillon ». L’apogée du saxophone SML arriva avec les modèles « Révision D » et « Gold Medal », fameux pour leurs cheminées roulées, le confort de la mécanique (pour l’époque) et surtout leur couleur sonore.
SML fabriqua près de 30 000 saxophones. Le dernier d’entre eux, le « King Marigaux » fut fabriqué en 1982. Il devenait de plus en plus difficile pour SML de rivaliser avec la concurrence internationale et locale (Selmer et Buffet Crampon). La marque se focalisa alors sur la fabrication de hautbois et de clarinettes. Elle développa également dans les années soixante-dix l’activité de distribution d’instruments à vent. C’est ainsi qu’en 1978, Yanagisawa rejoignit le catalogue.
Après le décès de Marigaux et Lemaire, Strasser vendit la société SML en 1975 à un groupe américain. Après avoir rejoint le groupe JA-Musik, les activités de fabrication et de distribution furent dissociées en 2007. Marigaux se concentra sur la fabrication de hautbois et SML sur la distribution des autres familles d’instruments de musique. C’est en 2010, avec l’intégration de SML au groupe ALGAM, que la marque reprit son activité de fabricant.Les saxophones SML vintage.
Photo: La boîte noire Ce qui suit est une présentation succincte des modèles SML. Les noms entre guillemets sont utilisés dans un but de classification. Ce ne sont peut-être pas des désignations officielles de la marque SML. Cependant, il se pourrait que SML ait donné des noms de modèles à chaque série d’altos (et de quelques ténors). Il se pourrait aussi que SML ait eu différentes équipes d'artisans travaillant sur différents saxophones et que chaque équipe décidait de nommer leurs saxophones. On le faisait déjà chez Martin, où les modèles faits main étaient différents selon l’artisan, ce dernier gravant généralement son nom sur le saxophone. Affaire à suivre…
- Modèles « Rev. A » (s/n 0 à 46xx et ses prototypes). Ceux-ci sont les saxophones des débuts de SML et sont relativement typiques de la plupart des saxophones du début des années 30 : ils ont un clétage encombrant, des clefs à gauche du pavillon, etc.
- Modèles « Rev. B » (s/n : 46xx à 6xxx). Ceux sont les premiers saxophones conçus avec des clefs de pavillon à droite. Certains modèles disposaient d’une cheminée roulée.
- Modèles « Super standard ». (s/n : 3xxx ? à ????) A mi-chemin entre le rev A et le Coleman Hawkins, il dispose déjà des cheminées roulées.
- Modèles Coleman Hawkins (s/n : 3xxx ? à 6xxx ?).
- Ces saxophones ont été conçus pour un des meilleurs porte-parole de SML, Coleman Hawkins, et étaient disponibles dans deux versions au moins: Rev A et Rev. B.
- Chaque modèle portait en gravure supplémentaire le nom de « Coleman Hawkins » en grandes lettres.
- Les modèles de Coleman Hawkins ont des cheminées roulées et un pavillon légèrement
surdimensionné par rapport aux modèles standards.
- Modèles Super ou « transitionnels »(s/n 55xx à 73xx).
- Il y avait au moins trois versions différentes de ce modèle, mais tous portent la gravure « super » sur le pavillon.
- Ces saxophones sont des évolutions des Rev B et des Rev C. En quelque sorte, le « chaînon manquant » dans l’évolution de la production chez SML.
- L'amélioration principale de ces modèles est probablement la palette de G#/C#/B/Bb qui est devenue la norme sur tous les SML, et qui le restera jusqu’à la fin.
- Modèles « Rev. C »(s/n 73xx à 83xx). Ces saxophones sont la dernière évolution des modèles Super et leurs ressemblent. Certains de ces modèles disposent d’une vis d’ajustement de hauteur des clés. (autour de s/n 78xx).
- Modèles « Rev. D »(s/n 83xx à 156xx). De nouveau, ce modèle est l’évolution du modèle précédent :
tous ces saxophones disposent de vis de réglage de garde permettant de varier l'ouverture des clefs. Parmi les autres innovations il y a le serrage annulaire du bocal et la balance sol/sol# avec une petite clé.
Photos: Saxvintage (Grand merci à Tanguy)
- Gold medal « Mk I »(s/n 156xx à 202xx).
- C'est certainement le meilleur saxophone de chez SML. Ce modèle dispose des 22 caractéristiques des saxophones SML (plus de précisions sur ces caractéristiques dans un prochain article).
- Son nom vient du fait que ces saxophones ont gagné une médaille d’or au festival international de musique La Haye (Hollande) dans les années 50.
- Ils ne sont pas seulement une évolution du rev D. Même si les deux modèles se ressemblent beaucoup, le bocal et la culasse ne sont pas interchangeables entre rev D et Gold Medal.
- Gold medal « Mk II »(s/n 202xx à 27xxx) : très semblables au King Marigaux, il ne dispose pas de l’ensemble des spécifications du Mk I. Souci d’économie de la part de la marque ?...
Photo: http://www.vintagesaxophones.com/
- Modèles Standard (s/n 46xx à 202xx). Ceux sont des modèles d’étude, semblables à Yamaha YAS62 ou le YAS875 Custom. Ils ne disposent pas des agréments des modèles pro comme la cheminée roulée. Ils ont également des gravures différentes. Toutefois, ils ressemblent au premier coup d’œil aux modèles pro de SML. Il est probable que les modèles Standard ont été réalisés à partir de modèles plus anciens de SML.
- Les Stencils. Ce sont des instruments fabriqués par SML pour le nom d’un autre distributeur. SML a produit une grande quantité de stencils pour une si petite compagnie (au moins six ; le plus célèbre étant le King Marigaux). Les stencils de SML ne sont pas des réalisations low cost de versions pro, ils ne sont pas non plus des assemblages de pièces d’anciens modèles. Ils sont aussi soignés que les saxophones pro, mais n’ont pas la cheminée roulée.
- Le King Lemaire. Ces saxophones ne sont ni des King, ni des SML. Ils ont été fabriqués en Tchécoslovaquie dans les années 70 et au début des années 80 pour la société King. Ce sont des saxophones ressemblant au King 613. Ils ont sans doute été produits par Amati ou Kohlert.
- Le King Marigaux. Le King Marigaux est le stencil du Gold Medal Mk II, fabriqué pour la société King. Ils n’ont pas de cheminée roulée, ni de vis de réglage de garde et la gravure est moins élaborée. Cependant, il existe des ténors gravés "King Marigaux" de haute couture, avec pavillon et bocal en argent massif ! ( Je l'ai vu de mes yeux vus : un modèle de toute beauté.)
Il semble que les saxophones SML vintage sont de très bonne facture. Certains modèles professionnels sont particulièrement recherchés (le "Gold Medal", notamment), à l'ombre du succès de Selmer, dont il semblerait pourtant qu'ils n'aient rien eu à leur envier...
J'ai récemment craqué pour un alto "Super standard" s/n 394x, sans doute fabriqué vers 1941/1942. Rénové chez Sax-Vintage, le son procure un grand plaisir, notamment dans les aigus, très justes.
De très belles photos qui viennent compléter cet exposé : ici
Sources :
http://www.saxpics.com/sml/index.htmhttp://saxovince.free.fr/forum/viewtopic.php?f=4&t=1872&p=10962
http://www.laboitenoiredumusicien.com/le-mag/sml-paris-:-un-siecle-d%5C'histoire-n4803/
http://fr.cyclopaedia.net/wiki/SML-Marigaux
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Billie Holiday, de son vrai nom Eleanora Fagan, née à Baltimore le 7 avril 1915 et morte à New York le 17 juillet 1959, est une chanteuse de jazz américaine considérée comme l'une des plus grandes chanteuses que le jazz ait connues. En 1933, John H. Hammond, producteur pour Columbia, découvre Billie dans un club où elle chante par hasard, à l'occasion d'un remplacement. Immédiatement convaincu de son talent, il lui ouvre les studios de Columbia. Elle devient l'une des vedettes du jazz new-yorkais. Elle se produit avec les plus grands orchestres : Duke Ellington, Count Basie, d'Artie Shaw. La tournée avec ce dernier est pourtant écourtée, à cause du racisme des États du sud, où elle ne peut pas chanter, ni même réserver une chambre d'hôtel ou entrer dans un restaurant avec les musiciens de l'orchestre. Une chanteuse noire dans un orchestre blanc...
Après cette tournée, elle est de retour à New York et continue de chanter dans les clubs grâce aux engagements que lui trouve John Hammond, en particulier au Café Society.
En mars 1939, un jeune professeur de lycée, Abel Meeropol sous le pseudonyme Lewis Allan, écrit un poème et propose ensuite à Billie Holiday de mettre en musique et d'interpréter Strange Fruit. Cette métaphore du lynchage des noirs dans la brise du sud devient la chanson-phare du Café Society et de Billie. La chanson déchaîne la controverse, et l'enregistrement qui en est bientôt tiré rencontre un immense succès.
Bien sûr, sa vie, comme tant d'autres vedettes et personne de couleur, ne fut pas rose. Elle sera aussi parsemé d'alcool, de drogue, de prison. Ne retenons que cette voix sublime, celle de "Lady Day", comme l'avait surnommée Lester Young.
Sources : http://fr.wikipedia.org/wiki/Billie_Holiday
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Voilà un p'tit gars qui a de l'énergie à revendre. Entouré d'une équipe de choc (Mulié, Caron, Castellain), il nous a fait passer une bonne soirée. Ecoutez plutôt...
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Samedi 3 mai et dimanche 4 mai 2014 de 14h00 à 19h00
Jazz-Club de Dunkerque,
STAGE
encadré par Fabrice DEVIENNE et Henri DORINA
Le JAZZ-CLUB propose un STAGE GRATUIT ouvert aux musiciens de Jazz.
Il se déroulera au JAZZ-CLUB :
Le samedi 3 mai 2014 : de 14h à 19h (en 3 parties)
Le dimanche 4 mai 2014 : de 14h à 19h (en 3 parties)- Harmonique et technique de l’improvisation modale et tonale pour les instruments harmoniques et mélodiques avec Fabrice DEVIENNE
- Atelier section rythmique (basse / batterie) avec Henri DORINA
- Atelier réunissant tous les participants et dirigé conjointement par Fabrice DEVIENNE et Henri DORINA. Mise en place collective du travail effectué dans les ateliers précédents sur un répertoire composé de thèmes de style différent (binaire, ternaire, modale et tonale)
Inscriptions : au JAZZ-CLUB
Mail : jazzdunkerque@wanadoo.fr
Tel : 03 28 63 51 00
06 85 58 00 80
Renseignements : 06 85 12 54 37
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Mardi 6 mai 2014 à 20h30
Jazz-Club de Dunkerque,
JAM SESSION
Rencontre organisée pour les musiciens, se déroulant autour des standards du jazz et avant tout sous le signe de l’échange.
Tout musicien désireux de venir jouer avec les jazzmen de la région peut se présenter avec son instrument et sera le bienvenu sur scène, accompagné de la section rythmique en place.
La soirée est, bien sûr, ouverte au public dans une ambiance de convivialité.
Entrée libre
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Dimanche 11 mai 2014
16h00
En partenariat avec le L.A.A.C
SPIRIT
(France)
Hervé GOURDIKIAN saxophones, duduk
Fabrice DEVIENNE piano, Fender Rhodes
Henri DORINA basse
Minino GARAY percussions
Roger BIWANDU batterieSPIRIT est un quintet de jazz créé au JAZZ-CLUB en avril 2012 et qui rassemble des musiciens remarquables, à l’enthousiasme communicatif, issus d’horizons différents, d’origine et de culture argentine, africaine, arménienne et européenne.
Les très belles compositions du pianiste Fabrice DEVIENNE, aux climats variés, mettent l’accent sur la qualité mélodique et le mélange des ambiances sonores et rythmiques. Une ligne de basse africaine, des rythmes de cajon argentin, les mélodies enchanteresses du duduk se mêlent aux couleurs du jazz et de l’improvisation.
La musique est rythmée, dynamique, chaleureuse et ensoleillée, riche en couleurs. Elle est servie par cinq musiciens talentueux et complices.
Hervé GOURDIKIAN : saxophoniste remarquable d’origine arménienne, il pratique également le duduk qui l’a séduit depuis une quinzaine d’année. Il compose beaucoup pour la chanson et joue avec de nombreux jazzmen : G. Coquard, D. Humair, M. Petrucciani, R. Del Fra, M. Stanchev, M. Cinelu, E. Legnini, M. Canonge, E. Mbappé, R. Biwandu, …
Fabrice DEVIENNE : pianiste et compositeur talentueux et généreux, grand mélodiste, il a joué avec de nombreux musiciens et formations, en leader ou sideman : Xamahal, Quartet et Big Band Devienne, Trio Devienne / Walemme / Huchard, J. Mahieux, Sonido, Yoman, Sophia Nelson, Ph. Sellam, F. Chassagnite, Nguyen Lê, DIPENDA (création avec 12 musiciens pour « Une saison au Congo », d’Aimé Césaire), …
Henri DORINA : d’origine africaine et antillaise, il est un bassiste efficace et incroyablement présent dans tous les groupes auxquels il participe : Moktar Samba, R. Bahri, Ch. Couture, Sonido, Yoman, S. Nelson, M. Dibango, qu’ils soient blues, funk, musiques métissées ou jazz…Il joue également dans DIPENDA.
Minino GARAY : percussionniste argentin flamboyant et impressionnant de la scène parisienne, il a de nombreux projets : Les Tambours du Sud, Córdoba Réunión, Gabriel, et joue dans de nombreuses formations : le Groove Gang de Julien Lourau, Magic Malik, Dee Dee Bridgewater, Richard Bona, Sixun, Jean-Pierre Como, …
Roger BIWANDU : batteur d’origine africaine, inventif, rythmicien hors-pair, leader d’un quintet, il est très sollicité en tant que sideman. C’est aux côtés d’Etienne M’Bappé et Mario Canonge qu’il est venu au JAZZ-CLUB en 2004. Il a joué avec Bireli Lagrène, Joe Zawinul, Vassiliu, Post Image, J. Higelin, I Muvrini, Salif Keita,…
SPIRIT est un cocktail ethno-culturel à consommer sans modération !
Le voyage est au rendez-vous … en excellente compagnie …
Tarifs des entrées (entrée au musée)
Plein tarif 4,5 €
Tarif réduit 3,00 €
Tarif réduit 2 1,50 € (18-25 ans)
Gratuit pour les moins de 18 ans.
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Jeudi 15, vendredi 16, samedi 17 mai 2014
20h45
JAZZ-CLUB de Dunkerque
Orchestre Franck TORTILLER « Janis The Pearl »
(France)
Franck TORTILLER vibraphone, compositions
Jacques MAHIEUX chant
Matthieu VIAL-COLLET guitare
Yves TORCHINSKY basse
Patrice HERAL batterie
Jean GOBINET et/ou Joel CHAUSSE trompette
Alexandre HERICHON trompette
Aloïs BENOIT euphonium
Jean-Louis POMMIER trombone
Franck TORTILLER est l’une des figures très importantes du jazz français d’aujourd’hui, aussi bien comme soliste invité par de nombreux groupes que comme compositeur – leader.
Généreux, toujours créatif, il est ce que l’on appelle « une pointure ». Franck est l’un des meilleurs vibraphonistes européens, ancien directeur de l’Orchestre National de Jazz de 2005 à 2008, membre très remarqué du légendaire Vienna Art Orchestra durant 7 ans, aujourd’hui directeur du département Jazz au Conservatoire d’Orsay.
Il ne cesse de créer de nouveaux projets, comme ce duo avec le saxophoniste baryton François Corneloup ou ce CD en solo qui sort en mars 2014, offrant toujours le meilleur de lui-même.
Sept ans après son électrique programme autour de Led Zeppelin, le voici à Dunkerque durant trois jours pour célébrer avec son orchestre (9 musiciens), la météorite Janis Joplin.
« Janis the Pearl », créé en 2012, est un vibrant hommage à la chanteuse Janis Joplin, morte en 1970, à l’âge de 27 ans. (Révélée en 1966, trois albums seront publiés de son vivant, un autre posthume, intitulé « Pearl », son surnom.)
Janis Joplin a connu la gloire en Amérique en même temps que Jimmy Hendrix, les Beatles, Led Zeppelin, Bob Dylan sur la scène anglo-saxonne.
Ce projet va au-delà de la musique : Franck voulait surtout parler du personnage car il aime le charisme de cette femme, son blues, son groove, son swing, l’énergie créatrice de cette artiste « rock-star ».
« On est davantage dans la lettre d’amour à Janis Joplin que dans une stricte évocation musicale » explique-t-il. Et c’est pourquoi, en plus des compositions originales, il a également arrangé des morceaux qu’elle avait elle-même écrits. (« Move Over » ou « Mercedes Benz »)
Dans « Janis the Pearl », il y a beaucoup d’arrangements magnifiques du grand harmoniste et mélodiste Franck TORTILLER, il y a la voix de Jacques MAHIEUX, chaude, rauque, poignante, il y a une formidable équipe de musiciens heureux de faire revivre la musique de cette décennie.
Avec fougue, passion et maestria, Franck TORTILLER et son orchestre mettent en lumière les influences de Janis Joplin : le blues et le rythm’n blues. « Joplin, c’est vraiment cette culture-là… » affirme Franck TORTILLER
Magnifique !
Site internet de Franck TORTILLER: http://www.francktortiller.com
Tarifs des entrées
Plein tarif 15 €
Tarif réduit 1 10 € (adhérents – élèves du Conservatoire de Dunkerque)
Tarif réduit 2 7 € (étudiants – lycéens – collégiens – demandeurs d’emploi)
Tarif réduit 3 3,5 € (étudiants ULCO)
JAZZ-CLUB de Dunkerque - Pôle Marine – 59 140 DUNKERQUE
jazzdunkerque@wanadoo.fr - 03 28 63 51 00 – www.jazzdunkerque.fr
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Après un concert au même endroit où les trois compères accueillaient le saxophoniste Hugo Contini, ils promettent un bon moment, dans une salle chaleureuse et intimiste...
Fabrice Castelain: piano, Jean Marc Castelain: contrebasse, Patrick Mullié: batterie
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