• Une publicité de décembre 1952. Pourrait-on encore publier cela de nos jours...

    Source: http://jeanluc.matte.free.fr/articles/typologie/saxophone.htm


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  • Je garde une affection particulière pour ce grand monsieur du piano jazz. Et pour cause, il était à l’affiche de mon premier concert jazz !

    Happy birthday Herbie !

    Herbert « Herbie » Jeffrey Hancock, né le 12 avril 1940 à Chicago, est un pianiste et compositeur de jazz. Il est l'un des musiciens de jazz les plus importants et influents. Il est l'un des musiciens de jazz les plus importants et influents. Il a mêlé au jazz des éléments de soul, de rock, de funk, de disco ainsi que, parfois, quelques rythmes issus du rap.

    Herbie Hancock a joué avec de nombreux grands jazzmen dans les années 1960 et a rejoint le Miles Davis quintet, avec lequel il a redéfini le rôle de la section rythmique. Il a également été un des premiers à utiliser les synthétiseurs et le scratch. Malgré ses expérimentations, la musique d'Herbie Hancock est restée mélodique et accessible. C’est ce que dit Wikipédia. Je rajouterai qu'il est l'ambassadeur du jazz auprès de l'ONU! Pas mal..., et que lorsqu’il ne joue pas avec des ipad sur scène, c’est un véritable bonheur de le voir et de l’entendre.  Quelle ne fut pas ma surprise d’entendre Rock it , sur lequel j’ai tant smurfé, sans savoir qui avait composé ce morceau. Allez, bon anniversaire Monsieur Hancock, and Thanks for all !

     Un autre de ces grands succès: Cantaloup island, en live.


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  • Billie Holiday, de son vrai nom Eleanora Fagan, née à Baltimore le 7 avril 1915 et morte à New York le 17 juillet 1959, est une chanteuse de jazz américaine considérée comme l'une des plus grandes chanteuses que le jazz ait connues. En 1933, John H. Hammond, producteur pour Columbia, découvre Billie dans un club où elle chante par hasard, à l'occasion d'un remplacement. Immédiatement convaincu de son talent, il lui ouvre les studios de Columbia. Elle devient l'une des vedettes du jazz new-yorkais. Elle se produit avec les plus grands orchestres :  Duke Ellington, Count Basie, d'Artie Shaw. La tournée avec ce dernier est pourtant écourtée, à cause du racisme des États du sud, où elle ne peut pas chanter, ni même réserver une chambre d'hôtel ou entrer dans un restaurant avec les musiciens de l'orchestre. Une chanteuse noire dans un orchestre blanc...

    Après cette tournée, elle est de retour à New York et continue de chanter dans les clubs grâce aux engagements que lui trouve John Hammond, en particulier au Café Society.

    En mars 1939, un jeune professeur de lycée, Abel Meeropol sous le pseudonyme Lewis Allan, écrit un poème et propose ensuite à Billie Holiday de mettre en musique et d'interpréter Strange Fruit. Cette métaphore du lynchage des noirs dans la brise du sud devient la chanson-phare du Café Society et de Billie. La chanson déchaîne la controverse, et l'enregistrement qui en est bientôt tiré rencontre un immense succès.

    Bien sûr, sa vie, comme tant d'autres vedettes et personne de couleur, ne fut pas rose. Elle sera aussi parsemé d'alcool, de drogue, de prison. Ne retenons que cette voix sublime, celle de "Lady Day", comme l'avait surnommée Lester Young.

    Sources : http://fr.wikipedia.org/wiki/Billie_Holiday

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  • D'après les propos de John Edouard Hasse.

    L’essayiste Gerald Early  a dit: « Quand on étudiera notre civilisation dans deux mille ans, les Américains seront connus pour trois choses : la Constitution, le base-ball et le jazz. Ce sont les plus belles que les Américains ont jamais créées. »

    Le base-ball et le jazz tous les deux emploient le mot « swing. Le tromboniste Alan Ferber a observé que les « joueurs de base-ball et les musiciens de jazz essayent tous les deux d'obtenir un équilibre parfait entre la technique et la spontanéité. »

    Le jeu et la musique sont nés aux Etats-Unis. Et ils sont connus partout dans le monde. De manière significative, les deux disciplines requièrent de nombreuses années de préparation, d’entraînement, de travail en équipe, de compétence et d'expertise. 

    Le mot même jazz semble avoir trouvé ses origines dans le base-ball. Le premier de ce mot évoque l'énergie et la vigueur. Dans un article de 1913 à propos de l’équipe des « San Francisco Seals », on peut lire :"The poor old Seals have lost their 'jazz' and don't know where to find it," ( Les pauvres vieux Seals ont perdu leur énergie et ne savent pas où le trouver ».

    Depuis les débuts du jazz à la Nouvelle-Orléans, le base-ball était populaire chez les musiciens. En 1931, le trompettiste Louis Armstrong joua dans sa ville natale de la Nouvelle-Orléans se prit d’intérêt pour une équipe locale - “The Raggedy Nine” - et leur acheta de nouveaux uniformes et équipements. Dans les remerciements, les joueurs s’étaient rebaptisés les “Louis Armstrong’s Secret Nine”. Lors de leurs matchs, Armstrong effectua quelques fois le premier jet de balle. Les uniformes blancs brillants ont cependant  causés quelques scrupules à certains joueurs qui refusaient de se jeter au sol, de peur d’être sales...

    Quand Jazz et base-ball étaient en harmonie.

     

    Pendant l’ère du swing,  le base-ball était le passe-temps favori en Amérique,
     et les équipes de base-ball existaient dans beaucoup de bigbands, comme ceux de Benny Goodman, Count Basie, Harry James, Tommy Dorsey et Duke Ellington.

    Les groupes de jazz étaient parfois en tournée six mois durant, et les leaders pensaient que jouer au base-ball apaisait les esprits. Les membres de l’orchestre de Cab Calloway, habillés de leurs propres uniformes de base-ball, auraient joué des matchs contre des équipes locales dans les stades municipaux au profit d’œuvres de charité.

     

    Sources : http://www.smithsonianmag.com/smithsonian-institution/rare-footage-duke-ellington-highlights-when-jazz-baseball-were-perfect-harmony-180950303/?no-ist

    http://www.pbs.org/jazz/about/about_behind_the_scenes.htm

    http://www.alanferber.com/biography/

    http://books.google.fr/books?id=ceeU

     


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  • 30-ans-que-marvin-gaye-a-disparu
    Le monde de la musique rend hommage ce mardi au "Prince de la soul" qui a été assassiné le 1er avril 1984 à Los Angeles.
    Trois décennies après sa mort, l’interprète des inoubliables "Lets get in on" ou "Sexual Healing" continue d'inspirer de nombreux chanteurs et musiciens à travers le monde. Pour honorer ce grand monsieur, je vous propose ce petit souvenir. Du pur bonheur.
     
     


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